Diane Bérard: le cri du coeur d'un prof d'entrepreneurship

Publié le 16/08/2011 à 11:46, mis à jour le 14/11/2011 à 15:46

Diane Bérard: le cri du coeur d'un prof d'entrepreneurship

Publié le 16/08/2011 à 11:46, mis à jour le 14/11/2011 à 15:46

Par Diane Bérard

BLOGUE Qui doit enseigner l’entrepreneurship? Doit-on encadrer cette formation? La réglementer? Comment? Selon quels critères? Doit-il y avoir un cursus de base “universel” comprenant certains cours incontournables pour s’assurer de la qualité de chaque formation?

Ce sont là des questions très pertinentes posées par Colin Jones qui enseigne l’entrepreneurship à l’univeristé de Tasmanie, en Autralie.( merci @World Entrepreneurship Forum)

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Colin Jones plaide pour une sorte de “syndicat” des formateurs en entrepreneurship qui déterminerait une philosophie mondiale commune pour la formation des entrepreneurs. Cette formation serait ensuite déclinée dans les différentes institutions selon la réalité et les besoins locaux. Penser global, agir local…

Qu’on l’appelle syndicat ou association ou groupe de travail l’idée que tous ceux qui se soucient de formation en entrepreneurship se regroupent pour réfléchir à leur profession et à la qualité du service qu’ils rendent me semble tout à fait justifiée.

Former des entrepreneurs demeure un art plutôt qu’une science exacte. Entre l’inné et l’acquis, les contours restent flous. C’est pourquoi il est d’autant plus important que les formateurs travaillent ensemble pour tenter de systématiser cette formation. Comprendre ce qui le rendrait utile et pertinente.

Nous avons besoin d’entrepreneurs, surtout dans la présente situation de reprise sans emploi.

Vous pouvez consulter l’entrevue de Colin Jones, ici

Qu’en pensez-vous? Avons-nous un Colin Jones québécois pour joindre ce mouvement?

Lire ici ma chronique précédente

 

 

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